Le loyer, les nourritures, les transports… Finalement intégrées socialement et économiquement, elles sont exclues de la solidarité élémentaire. On pense là aux jeunes actifs, aux salariés peu payés, aux temps partiels et aux retraités.
On en oublierait presque le poids total de ces personnes qui subissent au quotidien une injustice forte que souligne si besoin cette étude du Crédoc en date de 2009.
Tant de raisons qui font que l’on devrait aider les classes moyennes ou à défaut leur permettre de ne pas être surtaxées, surimposées et présurées au quotidien.