Il y a des “si” et des “la” qui fredonnent, lalala, un certain temps, celui où tu n'es pas là. Il y a les smiley qui clignent et me font tourner de l'oeil, n'importe comment, et je m'effeuille. Il y a les coeurs à la ceinture, breloquant de toi et un peu de moi, résonnant en “mi” majeur et crochètent les serrures. Il y a, tout ce tas d'impossibles fêlures enfouies sous les gravats, et les mumures des “oui c'est sûr”, lalala…