Ça là?
(François Fillon)
Pour moi c'est un rigolo qu n'a plus rien à faire au pouvoir. Voici sa phrase idiote qu'il aime à rappeler, un discours que je qualifie de pétainiste:
«Oui nous menons une politique de rigueur s'agissant de la dépense, je n'ai pas peur d'utiliser ce mot», a déclaré François Fillon lors d'une conférence de presse au dernier jour d'une visite en Nouvelle-Calédonie. «Je ne le regrette pas, je ne le retire pas et je le répéterai chaque fois que j'en aurai l'occasion», a-t-il poursuivi.
Personnellement, j'estime qu'un premier ministre devrait adopter un autre langage et s'inspirer du texte ci dessous:
La crise mondiale à bon dos. Il est aisé d’une certaine façon de relancer la consommation et
la prospérité dans un pays et dans le monde entier en faisant le nécessaire pour que tout puisse se faire dans de bonnes conditions. Encore faut-il pour cela que les responsables en soient
capables. En sont-ils capables? Il s’agit d’une question précise à laquelle nous autres citoyens sommes en droit et de nous poser et de poser à nos pseudos décideurs.
Décidément, nous sommes gouvernés par des émasculés et le terme n’est pas exagéré non seulement en France mais aussi partout dans le monde, car ce n’est pas possible, la relance, c’est facile à
relancer.
Quand on regarde ces pseudos décideurs français qui racontent des bêtises et qui ne sont pas capable de relancer le plein emploi et la prospérité générale.
Voici une citation formidable extraite d’un livre fabuleux intitulé « VOTRE FORCE INTERIEURE = T.N.T » de Claude M. Bristol et Harold Sherman, aux éditions Un Monde
Différent.
La pensée, positive ou négative, mène le monde
pour le meilleur ou pour le pire.
Toute tendance à la hausse ou à la baisse dans l’économie repose sur notre façon de penser, de concevoir les choses.
Lorsque les chefs de file de ce monde, les hommes d’état, les financiers, les éditeurs, les publicistes, les économistes, ceux qui influencent la pensée de milliers d’êtres dans toutes les
parties du globe, laissent les idées négatives prendre le dessus, ils créent chez ceux qui dépendent d’eux des pensées similaires et les affaires périclitent.
Par contre, lorsque ces mêmes chefs balancent la peur par-dessus bord et vont de l’avant, ils entraînent avec eux des armées d’adeptes enthousiastes et les affaires prospèrent.
Le jour ou en France nos décideurs et autres pseudos chefs de file seront capable de relancer la France, les poules auront des dents. Hélas.
Xavier Jaffré