Là : http://blog.prix-litteraires.info/2010/07/prix-tortoni-et-tortignole-2010.html?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+Prix-litteraires+%28Prix-Litteraires+%3A+Le+blog%29
Tortoni, 'est l'espoir et j'espère que le livre primé,que je vais acheter, met en boîte celui dont il pastiche le titre, livre fabriqué, purri, faisandé et qui aurat dû rester méconnu...Pouah! La littérature de complaisance et de révolte conformiste m'horripile... Nous avons beson de vertus plus hautes! Et l'arrogance du hérisson me désespère: on peut lire CA? Ce n'est même pas la peine d'essayer d'écrire vrai, juteux, plein de suc, d'amour, avec des lardons et de la crème, o alors de la tomate et des oignons.
Ecrire, c'est voulooir donner donner à manger vrai, concocter, cuisiner...comme un grand chef étoilé, parfois, ou comme une grosse mamma qui prépare des spaghetti pour une floppée de gamins braillards et affamés... Faire des livres pan bagnat ou lièvre à la royale, a-beurre cornichons ou elben menthe avec de l'ail, de l'huile d'olive... selon le moment, le besoin, l'envie...
Et parfois un peu plus de cruauté farouche, croquer la baie acide, sauvage qu'on croque quand on fuit, en pleine nature, quand on est poursuivi et qu'on a faim et droid, la petite baie qu'on voudrait nouricière qui nous tuera peut être...