Le vent faible, qui sent la pluie et le printemps, soulèv...

Publié le 20 juillet 2010 par Metanoia
Le vent faible, qui sent la pluie et le printemps, soulève le rideau de tulle. Une désolation sans but, un vide désir enivre le coeur de l'enfant solitaire, que son indifférence physique gardé iniquement, absurdement pure après ses fautes, et qui cherche, parmi les hommes, son amant inconnu.(Colette)