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En examinant mes anciens blogs, je constate mon obsession pour la recherche d'une vue d'ensemble, « à vol d'oiseau » en toutes circonstances. Malgré cela, je vois que nous continuons de vouloir résoudre les problèmes du monde au coup-par-coup. La nuit dernière, je regardais l'entrevue télévisée d'un docteur appartenant à « Médecins sans Frontières » qui se plaignait de la composition de l'aide alimentaire fournie par les États-Unis pour enfants, comme n'étant pas suffisamment nutritive et n'atteignant pas le but recherché. Bien que je sois d'accord avec cette vue, je ne peux m'empêcher de me demander pourquoi nous nous obstinons sur ces symptômes bien spécifiques, au lieu de - conjointement et simultanément – rechercher à éradiquer la cause du problème, qui dans ce cas, comme tant d'autres (questions environnementales, théorie de croissance économique) reste la surpopulation planétaire ...