Mais ce tsunami industriel à l'échelle de l'île de la Réunion fait aussi des victimes collatérales : fournisseurs, sous-traitants... Et financiers. Dont la toute puissante Sorefi (Société réunionnaise de financement) qui, à cause de la crise, a vécu une très mauvaise année 2009, avec une perted e près de six millions d'euros. Dont plus d'un milieu du seul fait de la défaillance d'un "partenaire historique et majeur". Partenair qui n'est pas cité dans le bilan annuel de la Sorefi, mais qui selon les sources de La Lettre de l'océan Indien n'est autre que le groupe Caillé...
Frenchy