Pour rendre hommage à cette supériorité animale, mettons une petite vidéo d'un groupe pas forcément insensible à la question ursidée. Il ne s'agira pas de Panda Bear, Grizzly Bear ou autres Minus The Bear, mais de Polar Bear, un groupe de post-rock bien jazzy et ma foi fort attachant. Le morceau est extrait de Peepers, sorti cette année sur l'excellent label Leaf.
Dans la rencontre des plus gros mangeurs, le Japonais maîtrise son sujet. C'est le succès de la concentration nippone sur la vulgarité de son concurrent. Kabayashi c'est l'empereur de la bouffe, avaler comme un porc est pour lui un exercice de quasi-méditation. Mais rien à voir encore avec le naturel du gros ours, tranquille, à l'aise, flânant entre les saucisses comme on regarde par la fenêtre pendant un examen. La hiérarchie est établie, on est heureux de le savoir.
Pour rendre hommage à cette supériorité animale, mettons une petite vidéo d'un groupe pas forcément insensible à la question ursidée. Il ne s'agira pas de Panda Bear, Grizzly Bear ou autres Minus The Bear, mais de Polar Bear, un groupe de post-rock bien jazzy et ma foi fort attachant. Le morceau est extrait de Peepers, sorti cette année sur l'excellent label Leaf.
Pour rendre hommage à cette supériorité animale, mettons une petite vidéo d'un groupe pas forcément insensible à la question ursidée. Il ne s'agira pas de Panda Bear, Grizzly Bear ou autres Minus The Bear, mais de Polar Bear, un groupe de post-rock bien jazzy et ma foi fort attachant. Le morceau est extrait de Peepers, sorti cette année sur l'excellent label Leaf.