La Cour des Comptes et les prisons.

Publié le 21 juillet 2010 par Orlandoderudder

Gogoïsme.

Il est amusant que, de nos jours, la droite devient obklgée de prendre des mesures qui étaient "de gauche" jadis ou naguère. La fausse crise qui sévit et qui n'a pour ut que d'nrichir les riches tout en renforçant la domination e ces derniers sur les pauvres a beau être quelque peu fabriquée, il n'en est pas moins vrai qu'ele fait mal. Et qu'on ne peut pas laisser les choses aller sans mesures sociales.La droite l'a compris, car ça la protège et premet de continuer, ,tranquille, d'exercer un pouvoir fort, hautain, qui cntemple avec amusemetn l'agitation des syndicats et des opposants impuissants, voire ridicules, coincés dans leur gogoïsme.

Opium.

Cette fois, pourtant, l'opium du peuple écolo n'a pas sévi pour évacuer les vrais problèmes en prévoyant la fin du monde parce que l'aspartame donne le cancer de l'effet de serre à ceux qui refusent les ours dans les Pyrénées et ne mangent pas bio, voire ne lisent pas Charlie-Hebdo,les salauds. . . Pourtant il s'agit d'être menacés.Je rappelle que la terre n'est pas en danger: Elle nous enterrera tous.Seul les humains sont opprimés ou tués.

Libéralisme.

Oui, la Cour des Comptes, qui n'est pas composée de joyeux gauchistes échevelés devient soixante-huitarde! Certes, le libéralisme s'était déjà préoccupé de la situation au XIXe s.Mais le libéralisme de ce emps était-il à droite? Stuart Mill nous dit : "non". Les catholiques aussi, mais dans le sens habituel. Avec l'idée de la faute et du péché. De quoiks'agit-il? de l'infâmie quotidienne du traitement des prisonniers!

Apitoiement décoratif.

Chose dont les vraies personnes parlaient déjà vers1970! Avec, entre autre le GIP (Groupe Information Prison). Hé oui, au temps de Pomidou le veule, on militait pour plus d'humanité. Et certains, parmi ceux qui, aujourd'hui, s'apitoient décorativement sur le sort des prisonniers étaient alors de farouches opposants à tout adoucissement de la condition carcérale. C'est ça l'indéniable progrès: la droite pourrie finit, trente ou quarante ans après, par comprendre que la gauche avait raison, qu'elle a raison...

Du bio en prison?

Mais on se sert de l'écologie exagérant les dangers, prédisant l'apocalypse pour éloigner la gauche du social e de l'humanisme... Alors, forcément, aujourd'hui, ça risque d'être encore plus lent... La priorité, ce sont les bébés-phoques...Mais bon, on va quand même s'occuper des taulards... Quand se décidera t-on à leur donner une nourriture bio? Le bio rend soumis, toutes les études fautes par des laboratoires aussi indépendants qu'inexistants (come toujours) ou vendus le démontrent. Le bio, par son effet lénifiant permet de se sentir "bon", de devenir conformiste et planplan.Avec les jeux électroniques se serait un bon moyen de faire cesser la violence entre détenus. Allons même jusqu'au végétarisme...sauf que ce dernier peut rendre hargneux! Voir les forums végétariens, pleins d'insultes et de menaces! C'est rigolard!

Punir, c'est religieux.

Enfin, malgré tout ça avance... Mais il est tard. Maintenant, autre chose: la morale, on...c'est personnel, culturel... L'Etat ne doit pas s'en occuper et la prison ne doit pas PUNIR...au nom de quoi? D'une morale s'oppposant parfois à une autre? Le terrosiste croyant en sa cause agit selon sa morale.Le ;punir c'est oppposer une autre morale. En revanche la société doit se protéger, éviter la récidive, réparer le tort subi par les victimes... Et la prison doit servir à ça.PAs à faire de la morale ou à punir. On doit tenter de former les détenus, de les rendre inoffensifs, de les accueillir dans une société où ils auront leur place une fois la période carérale finie.  tout en les respectant.Punir, c'est religieux et ça mène où nous savons: au ratage gluant!

Justice sociale.

Donc la prison se doit d'être  humaine. Pour commencer, puisque c'est la responsable, je demande une mesure de sévérite$é extrême contre les gens de l'administration pénitentiaire: on les vire tous, on le condamne au RMI (pire que la prison) et on remplace par des fonctionnaires dégagés de la  morale de la culpabilité. On pourrait, au passage, punir la charité, ce mépris entretenant la misère et s'opposant à la justice sociale...

Frites et saucisses.

Je vomis le crime. Les assassins me révulsent;Mais ce sentiment ne doit en aucun cas être assumé par l'Etat. Il est ma morale, ma sensibilté. L'Etat n'a pas à s'en mêler. Il doit assurer la tranquillité publique, la sécurité. Donc s'occuper soigneusement des prisonniers, leur donne un moyen de ne pas récidiver. On a aboli la peine de mort car on ne voit pas de quel DROIT (ah! la polysémie! quel pied!) on punirait ainsi d'une façon si cruelle et si gouleyante pour les sados droitiers... Ca fait du spectacle en moins car au cours des exécutions publiques, le peuple s'assemblait, on vendait des frites et des saucisses, les putes s'enrichissaient (tant mieux: purquoi pas elles?) et ça faisait marcher le commerce... Eh oui.  La corrida, c'est de la rigolade, non?

Envoi: Au delà de la morale, il y a l'amour... qui ne s'encombre pas de morale est est absolument impossble quand on est religieux.La preuve, ils en parlent trop. Et l'amour c'est le respect, la frce tranquille de l'absence de hargne délétère.Et c'est, entre autres le respect des détenus... Quand au provebe "qui aime bien châtie bien", il est mal interprété: "châtier", ou castoyer, jadis, ne voulait pas dire "punir", mais gérer... Hé oui, administrer les prisons, les gérer dans le sens humain, c'et tout de même plus-mieux-bien que de punir avec l'autorité du  type honnête discipliné voire croyant  qui se sent supérieur,mais qui reste  bilieux, mesquin, ce pouacre fétides à foie jaune!