Je ne comprends pas bien pourquoi la justice s’intéresse aux conditions d’embauche de Mme Woerth dans le cabinet de M. de Maistre.
Je ne savais pas qu’il existait des lois interdisant de recommander un proche pour un emploi. A moins, évidemment, que le « pistonneur » achète l’emploi convoité par la promesse d’actions illégales, comme, par exemple, éloigner de l’entreprise et de ses clients toute action du fisc. Mais il me semble que l’Inspection générale des finances a prouvé que tel n’était pas le cas. Alors ?
Et depuis quand une femme compétente devrait-elle obligatoirement être pistonnée pour obtenir un poste ?
Anne Merlin-Chazelas