Que faites vous l’été quand vos séries préférées se sont arrêtées et qu’entre les rediff et les séries manquées, vous aspirez à plus de nouveauté? Surfant sur la vague des séries à succès, Pretty Little Liars fait un carton plein en ce moment sur la chaîne ABC. Ce week-end je n’ai fait qu’une bouchée des 6 premiers épisodes. Verdict : c’est une vrai bonne surprise.
Je suis partie avec pas mal d’à priori, sans doute parce que je pensais que c’était une série pour les kids, notamment pour les nanas pré-pubères. Ce qui n’est pas faux, mais ça ne m’a pas empêchée de me glisser facilement dans la peau de du personnage
La série s’inspire d’une série de romans éponymes (tout comme Gossip Girl) destinés aux jeunes filles en fleur à la recherche de grands frissons -ouuuh – , et créés par Sara Shepard.
L’intrigue tourne autour de quatre jeunes filles, Spencer, Aria, Hannah et Emily, dont la vie, pas si tranquille , va basculer après la disparition de leur amie Allison. Tout serait plus simple si, une mystérieuse A. (la fameuse portée disparue?) ne les harcelait pas de messages en les menaçant de révéler leurs plus lourds secrets. En deux mots, à Rosewood, c’est sexe, mensonges et trahisons avec quelques meurtres en sandwich.
L’atmosphère et les personnages font de cette série un véritable conte de biatches. Le mélange des genres nous amène à la croisée de Gossip Girl, Desperate Housewives et Meadowlands avec une bonne tension qui rend l’intrigue plutôt addictive.
Garanti plus palpitant que Fort Boyard !
+1 pour le générique :
L’opening song est extraite de l’album Thirteen Tales of Love and Revenge de The Pierces.