On sait qu’une initiative existe pour faire naître un « .bzh » en Bretagne et l’on ne peut finalement que s’en réjouir. Symbole d’une communication naturellement mondialisée, internet veille aujourd’hui justement à se relocaliser pour donner vie à de nouvelles niches de développement et assoir son emprise culturelle.
Et l’Alsace dans tout cela ? Le « .al » est réservé à l’Albanie, aujourd’hui seul un « .el » comme « elsass » pourrait faire l’affaire. Reste à imaginer qu’il existe une demande et à la porter.