Je t'ouvres mes bras,
quand tous les deluges,
se seront abbatus sur toi,
ce sera ton refuge.
Je t'ouvres mon coeur,
en terre d'asile, demandeur,
client pour l'exil,
vers le bohneur.
Ouvre les yeux,
quelque soit les dangers,
et les périls,
on est deux,
à marcher,
sur le même fil.
Ouvre ta raison,
j'ai peut être pas le profil,
de l'homme idéal,
de l'image que t'as du mâle,
mais pour toi, suis peut être pas si mal.
Ouvre tes horizons,
pour un choeur au diapason,
chanté d'une voix très pure,
dans les jardins d'Epicure.
Telle est mon invitation,
un peu folle,
sans carton, sans bristol,
soumise à ta réflexion,
et la chose qui m'affolle,
c'est que t'y répondes NON.
PAEPEGAEY Michel