Titih : poème "Le vautour"

Seule dans ma chambre
A contempler ce silence
Et écouter mes pensées
Qui me parlaient de mon passé

Des loups guettaient mes qualités
Et en faisaient un projet
De me transformer à leur guise
Que d'obstacles traversés
Que d'auditions demandées
Que de promesses écoutées

Tout a bousculé
Le destin ne m'a pas avisé
Que des êtres peuvent êtres ravageurs
Et mettraient un terme à mon être
Moi qui croyais que ce monde est fait
Pour vivre en paix, s'aimer, se supporter
Apporter la joie à tous ceux qui en demandaient
Quelle stupide idéaliste j'étais

Mais le mal trouve toujours ses partisans
IL faut bien que l'enfer maintient ses braises
De ces êtres plus ignobles qu'ils en paraissent
Des coeurs nourris par le mal
Le mal est leur ange qui les garde
Qui maquille leur visage
Parfaitement convenable
Mais ce mal les ronge chaque jour
Et transforme leur nuit en vautour
Je crie ma rage , et j'en serai un
Plus crucial pour protéger autrui de leur mal