[Cine] Mon avis sur Predators

Je ne pense pas mentir en disant que j’attendais avec une grande impatience ce nouvel opus de la saga Predator (il suffit de voire la deco actuelle de mon blog).
Voire le nom de Robert Rodriguez m’a évidement mis en confiance et je m’attendais a passer près de 2 heures de pure folie.
La seule choses que me faisait un peu peur, c’etait de voire, dans les trailers la présence de plusieurs Predators (d’où le S à Predators dans le titre du film), car si même un Marines du gabarit de Swarzzy a du mal a venir a bout d’un seul d’entre eux, alors j’imaginais mal comment cette bande de gringalets allaient pouvoir s’en sortir…
Alors autant vous le dire tout de suite, mes craintes étaient fondées…

Explication d’un échec:

Tout d’abord l’histoire…
Tout commence, par le parachutage d’une troupe de « gros méchants » sur une planète inconnue.
Car oui, si vous ne le saviez pas encore la Predator’s Academy fait un casting toute l’année sur afin d’élire qui est le plus gros vilain sur Terre…
On y retrouve un yakuza, un homme de main du cartel de la drogue, un mercenaire, un tueur en série, un militaire ruse une « snipeuse » (qui vise ces cibles à la distance prodigieuse de 3metre 50) etc…
Bref, du beau monde…

Tout comme dans le premier Predator, nous nous retrouvons dans un environnement de jungle et c’est peut être le seul bon point de se film.
Car même si Adrien Brody essai de garder la face face au Predator en ayant pratiquer quelques heures de muscu en salle de gym, il ne fait carrément pas le poids  face au Predator et je m’attendais a ce que ce soit Laurence Fishburne le gros costaud de l’histoire… et bien pas de bol, en plus de n’arriver qu’en milieu de film, le rôle de l’acteur des Experts est très très limité dans le temps et la fin de sa prestation marque la fin d’un film qui a au du mal a se mettre en place…

En effet, peut après la rencontre avec Fishburne, notre equipe vas se sentir pousser des ailes et vont purement et simplement botter le cul au 3 Predators et pas à l’aide de missile atomique ou d’arme ultra puissante mesdames et mesdames, non non, juste un sabre, quelques grenade et un bout de bois..
Vaincre des Predators aussi facilement est tout simplement inimaginable dans ma petite tête de fan.
Lorsqu’on se souvient tout le mal qu’a eu Schwarzzy a en tuer un, voire tout ses gringalet vaincre des Predators en duel au corp a corps m’a juste déprimé…

Cerise sur le gâteau inter-galactique, Nimrod Antal a eu l’idée de reprendre l’idée la plus débile de l’histoire des Alien Versus Predator; celle de faire ami-ami avec le terrible prédateur…
Non, mais ho ? C’est quoi ce bordel ?
Le predators est un chasseur, un tueur de sang froid qui arrache des colonne vertébrale et s’en fait des trophée, pas un type qui cherche a faire copain copain avec le premier humain venu…

Le film se termine sur un coup de théâtre qu’on a vu venir depuis a peut près 2 heures et laisse sincèrement une sensation de gâchis.

Bref, encore un film issu des années 80-90 remis au gout du jour pour se faire de l’argent sur le dos des fan nostalgique comme moi.
Ce film est a mettre dans la ligné des Die Hard 4 et autres Terminator 3…
D’ailleurs ce n’est que dans le générique de fin que j’ai découvert que Robert Rodriguez ne jouait ici que le rôle du producteur; c’est donc bel est bien un film à licence pour financé ses projets plus personnel tel que Machete

Ma note: 12/20