C'est que je ne prends pas assez mon parti, par une sorte d'indifférence ou de lâcheté.
(...)
C'est que nous prenons les autres comme des occasions de nous rendre meilleurs.
(...)
Il arrive bien que je me dise aussi , chaque soir : "Comme je suis meilleur que ce matin." Mais je me flatte peut-être. Ou si tout se perd pendant la nuit...
Jean Paulhan, Progrès en amour assez lents, 1916.