Quand le soleil doré est au zénith
Je souffle sur ton corps en éveil
Quand le soleil brûlant est à la nuit
Je le couvre de mille et doux baisers
D’un silence si tranquille et sans pareil
Que mes caresses s’estompent sans bruit
Laissant place à mes sens qui palpitent
Tant d’ivresses pour un rêve abandonné
Dans un jardin, à la senteur de ton amour
Jalousant les arômes parsemés de tes belles
Enivrées de l’odeur parfumée du bouquet vanillé
Tes pensées succombent à des désirs passionnés
Livrant leurs exquis secrets d’un bonheur-du-jour
Quand le soleil épuisé rejoint l’obscurité
Quand ta chair sommeille en sa tranquillité
Alors je puise en toi comme un fruit défendu
Cette chimère dans cette volupté suspendue
Un songe,...un songe dans cette concupiscence
D’un jardin parfumé d’hymen en effervescence
Aurore