Par ce titre je fais bien sûr référence au livre "The World is flat", de l'éditorialiste vedette du New York Times Thomas Friedman, qui a été traduit en français sous le titre "Le monde est plat". Thomas Friedman a longtemps été un des observateur et chroniqueur les plus avisé du Moyen Orient et du conflit Israélo-Palestinien puis, suite au déclenchement de la guerre en Irak, il a radicalement changé ses sujets de chroniques en se focalisant les les problèmes énergétiques et la mondialisation.
Par le vocable "monde plat" Thomas Friedman, ne défend pas bien sûr un retour à une conception antique du monde mais suggère que maintenant nous vivons dans un monde dans lequel la plupart des frontières ainsi que les distances ont été abolies. Le technologie des réseaux permet de réaliser un tâche ou un service indépendamment du lieu ou il est rendu. Les principaux exemples cités sont basés sur les transferts massifs de l'industrie des services américaines vers l'Inde.
Beaucoup de réflexions justes, même si le point de vue est souvent très américano-centrique, qui mettent en lumière les évolutions de notre société de manière globale. Beaucoup de nos hommes (et femmes) politiques français devrait lire cet ouvrage qui montre que la plupart des solutions avancées pour résoudre les problèmes de la France sont à côté de la plaque.