j'ai la tete qui tourne sur la balançoire,
Dans ce square s'échoue mes idées moribonde,
J'envie ses mioches en l'air sur leurs perchoir,
Lévitant au dessus de nos squelettes imonde...
L'arraignée s'évertue à piégé les passants,
Une veuve noir à la froideur inée,
A sa toille gluante, des anonymes haletant,
nourie au biberons de ses charmes endiablé..
Glissade sur les falaises ébréché par l'oublie,
Une pente dégarnie de ferveurs idilyque,
Il pianote sur les touches d'un orgue maudit,
un habit de clown dans ces vallons désertique....
Affaller sur un banc décréppie de suplice,
leurs envie incongrue se cache aux fourrés,
l'ombre d'un ange passe et s'immisce,
figeant sur le tableau noir leurs nausées...