On parle beaucoup des candidats ayant dénigré sur Facebook ou Twitter une société, l'ambiance qui y règne... après un entretien d'embauche. Et ça ne leur a d'ailleurs pas vraiment réussi par la suite. Dans ce cas, c'est le candidat qui "trinque".
Par contre, on parle beaucoup moins, pour ne pas dire quasiment pas, des candidats postulant à un poste et pour lesquels les requêtes ne sont pas traitées par les recruteurs/DRH, faute de temps (entre autres, pas d'accusé de réception, pas de retours suite à un entretien...). La conjoncture est telle qu'ils sont submergés par l'afflux de candidats.
Or, il semble que ces candidats aient la dent dure contre ces sociétés, qui ne prennent pas le temps de leur répondre. Selon une étude lancée par le groupe britannique SHL, "un quart des 25-34 ans interrogés seraient prêts à changer leurs habitudes de consommation en “boycottant” les produits/services de l'entreprise fautive, et en partageant leur opinion négative avec leurs amis via les réseaux sociaux." (Comment ça marche).
A bon entendeur...