Boulet de canon
Dans l'ombre ou la lumiére à la lueur d'un reverbére de ses chaude nuits d'été,
j'empoigne tes lévres ma princesse et ne cesse dans une longue complainte
de voguer sur ton coeur assoupie dans le brouillard.
Je fonce à traver ses virages ou les pirates au coeur rouge essaye de piller mon trésors,
je tranche d'un revers leurs fantomatique illusion macabre.
je plonge dans le gouffre et saissit ta main dans un majestueux vol sacadé par les calins qui cheminent à l'azur.
Tu reste telle une rose taché de sang, fanant au premiére lueur...
Les journées comme un champ de mines,
j'entreprend Oh moi humble démineur,
Par des pluies de mots qui fabule,
de me tortilé sur ce fil comme un funanbule,
à vaincre tes démons Kamikase qui m'acule..