Alors, oui, je reconnais y être allée un peu en traînant des pieds. Il faisait beau cet après-midi là et les films de brutes qui nous plongent dans l’univers carcéral on en a tous un peu notre claque ces derniers temps. Mais c’est un film de Kim Chapiron, celui qui s’était fait descendre en flèche à la sortie de son premier long métrage, Le Sheitan (que je compte secrètement parmi mes favoris) alors je peux pas le planter le jour où il se fait enfin encenser par les critiques. Tournant le dos au soleil, je prend mon courage à deux mains, et décide à m’engouffrer dans la salle obscure, prête à recevoir ma bonne dose de coup de poing. suite de l'article.