Thierry Henry, le joueur que l’on ne présente plus vient de défrayer la chronique en annonçant sa signature chez le club américain des New York RedBulls, suivant l’exemple de son ex-coéquipier en Bleu Youri Djorkaeff (à l’époque le club s’appelait les New-York/New Jersey Metrostars) ou des ses illustres prédécesseurs des années 70 : Pelé, Franz Beckenbauer ou Johan Neeskens, années durant lesquelles le club s’appelait New York Cosmos.
Il a par ailleurs, annoncé qu’il mettait un terme à sa carrière internationale (123 sélections, 51 buts). L’attaquant de 32 ans quitte donc le FC Barcelone, avec qui il n’a jamais réellement réussi à s’imposer mais avec lequel il a remporté le trophée majeur qui lui manquait : la Champions League.
Bien que le meilleur buteur de l’histoire de l’équipe de France ne l’avoue pas ouvertement, il y a fort à parier qu’il part en Amérique à l’instar des colons français de l’époque moderne, pour « faire fortune ». La durée du contrat n’a pas été communiquée (on parle de plusieurs années) ni même le salaire qui sera versé à l’ancien Gunner. Il portera son traditionnel numéro 14, qui se vend déjà à 95 dollars (74 euros). Comme disent les américains : « Time is money… »
Henry veut offrir au club son premier titre de champion. Un challenge taillé pour celui qui a tout remporté avec l’équipe de France, et qui dispose d’un des plus beaux palmarès de ces quinze dernières années. Il devrait débuter au RedBull Arena le 22 juillet lors d’une rencontre face à Tottenham Hotspurs……le rival historique d’Arsenal. La boucle de l’Histoire est bouclée.
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