Tu nous mitrailles de mots
Tu tires à vue,
Ta ta ta ta ta ta, lourdaude !
La tête encore dans le guidon,
A peine réveillée,
Tu nous presses le citron.
………… Pas beau ……….
Tu vas la fermer ta grande cavité !
Arrête d’aboyer,
A chacun de tes sons je me sens dépitée.
De haine tu n’es pourtant pas chargée,
Tu nous agresses sans savoir pourquoi,
C’est le reflet d’une éducation ratée.
…… Pas coupé, le cordon ………
Elle t’a étouffée, emprisonnée,
Tu cherches à t’évader,
Tu déploies ta détresse à gorge déployée.
Tu cherches la bataille, pensant t’imposer,
Tu nous lasses, hélas !
J’aimerais, dans la paix, pouvoir déjeuner.