Interrogé par La Provence au sujet de l’Argus parlementaire, le député socialiste de la 1ère circonscription des Alpes de Haute-Provence répond :
Comme une grande majorité des députés de tout bord politique, je refuse d’apporter mon soutien aux initiatives populistes et démagogiques d’une association ultralibérale qui prône des coupes sombres dans les dépenses sociales et de santé mais aussi la suppression de l’impôt sur la fortune. Je rappelle qu’en ma qualité de président du Conseil général, cela fait 5 ans que je n ‘ai pas augmenté la fiscalité et que je n’ai donc aucune leçon à recevoir dans ce domaine.