"BEST OF" le blog telecoms raconte "le mediateur de la telephonie" : mon aventure d'entrepreneur entre mon ancienne société, un de mes clients et neuf cegetel et RECOFACT, mandaté par neuf telecom,
voici un des anciens articles du blog telecoms du 17/04/09 :
" le mediateur de la telephonie affirme qu'en cas de litige "une issue favorable dans huit cas sur dix"..., alors, comment n'a t il pu regler "ce" cas en son temps s'interroge le blog telecoms,
ces propos lui ont été attribués dans cet article du 27/03/09 sur le site francesoir,
est ce que "ce" cas n'etait pas assez precis en son temps ?,
je vous l'expose,
en 2005, je m'occupais de mon entreprise située à lyon et accessoirement, à titre benevole, j'etais administrateur de la Ficome,
je reçois un jour un courrier adressé à ma société et envoyé par RECOFACT, une société de recouvrement, courrier qui se presente sous forme d'une convocation devant un tribunal car je n'aurais pas reglé mes notes de telephone aupres de celui qui avait mandaté cette société de recouvrement, NEUF TELECOM,
au meme moment, un de mes clients situé à aix en provence dont je m'occupais dans le cadre de mandats successifs qu'il me confiait, me faxe un courrier redigé par RECOFACT, cette meme société de recouvrement et qui lui demande de regler ses factures de telephone, sous peine d'actions en justice, cette société de recouvrement avait été mandaté par NEUF TELECOM...,
jusqu'ici, rien (?) qui ne justifie un article,
je reçois ces deux elements ecrits par RECOFACT à la demande de son client NEUF TELECOM, et je suis interpellé par le fait que le montant "demandé" par RECOFACT est le meme à ma societé lyonnaise et à celle de mon client aixois, identique au centime d'euros près...,
je prends mon telephone (dont le fournisseur n'était pas NEUF TELECOM) et contacte RECOFACT,
il m'est demandé de donner le numéro de client/dossier qui figure sur le courrier adressé à ma société lyonnaise...et que me répond on ?,
RECOFACT m'indique le nom de la société...aixoise et non la mienne !,
donc, pour RECOFACT, à un numero de client/dossier correspond un autre...client !,
on continue ?, allons y...,
je prends le courrier envoyé par RECOFACT à mon client aixois et constate que cette société a les memes numéros de client/dossier que ma société !,
donc, pour RECOFACT, à un meme numero de client/dossier correspond...deux clients !,
on continue ?, allons y...,
ma société société et celle basée à aix en provence n'ayant jamais eu connaissance de factures de telephones, il est expressement demandé par de nombreux faxs avec AR et courriers recommandés avec AR de nous fournir les détails correspondant aux "injonctions" de payer...,
ce qui n'a jamais pu etre fait par RECOFACT...,
la tentative de recouvrement forcé fait par RECOFACT à la demande de son client NEUF TELECOM n'a jamais pu etre motivée ni par RECOFACT ni par NEUF TELECOM d'ailleurs...,
ce n'est pas fini..., on continue ?, allons y...,
RECOFACT et NEUF TELECOM sont devenus totalement "muets" sur le sujet..., je contacte donc le Mediateur de la Telephonie pour lui exposer les faits et lui demander d'intervenir...,
et quel a été le résultat de nos échanges par recommandés avec AR ?,
d'abord, il m'a demandé les pièces, puis a contacté NEUF TELECOM qui lui a indiqué que ma société nétait pas cliente de ses services ..., avant de terminer son action en justifiant que ma société étant devant le tribunal pour cette affaire (ce n'était que la convocation de RECOFACT devant un tribunal...), il ne pouvait se saisir de cette (etrange ?) affaire...,
pour reprendre, pour RECOFACT, mandatée par NEUF TELECOM :
- à un numero de client/dossier correspond un autre...client,monsieur le mediateur de la telephonie "affirme qu'il remplit sa tache avec un certain succés"...,
- à un meme numero de client/dossier correspond à...deux clients,
- une tentative de recouvrement forcé peut etre engagée sans aucune justification,
- et ceci aupres de deux sociétés differentes, pour les memes montants !,
mais comment se peut il qu'il ne reagisse pas à ce que les tribunaux "pourraient" qualifier une pratique qui "pourrait" etre qualifiée de "tentative d'escroquerie" ?.".