L'impossible écho qui résonne à mon esprit,
Furieux, me rappelle encore à ton souvenir.
C'est ton image, son étendard, qu'il brandit,
Me suppliant de ne pas te laisser partir.
Arrivant toujours quand je m'y attends le moins,
Il me laisse parfois à la mélancolie,
Riant de choisir les moments inopportuns,
Et d'être la cause de nombreuses insomnies.
Je crois que j'ai au fond du coeur un grand placard,
Hanté. Il ne s'ouvre pas seulement la nuit,
Abrite un fantôme, nourrit par mon espoir,
Qu'un jour se recroisent les chemins de nos vies.
A Jonathan. A jamais dans mon coeur.