Le président du Vénézuela, Hugo Chavez, est en train de nationaliser tout ce qui bouge, en allant des petits commerces d'appareils électroniques jusqu'au grandes pétrolières. Le principe est simple : Chavez ordonne aux dirigeants de lui laisser le contrôle de l'entreprise, sans négocier. Il le fait au nom du socialisme, qui dicte que tout devrait appartenir au gouvernement (donc, indirectement, à lui). Et pour justifier son régime politique, il soutient que le capitalisme, tel que pratiqué par les pays développés, est responsable de la corruption, de la spéculation et de la pauvreté.
(NDLR : Cela devrait faire réfléchir ceux qui préconisent que l'État doit tout faire.)