- Française des jeux (FDJ),
- Bwin
- Betclic
- le PMU
- EurosportBET
- Sajoo (Groupe Amaury)
- France Pari
- Groupe Iliad (Chilipari)
Si, avec plus d’un million de joueurs en ligne, le nombre de clients a explosé, les bénéfices sont restés quant à eux assez maigres. Seulement 3 millions d’euros de résultat net pour 60 millions d’euros récoltés, soit un pari moyen à 60 euros. On est donc loin des 21,7 millions d’euros dépensés en publicité par les sites de pari en ligne.
La France est encore en retard Cette mauvaise performance s’explique en partie car un grand nombre d’habitué sont allés voir ailleurs. Pourquoi ? Le taux de retour est plafonné à 85 % par la loi, contre 95 % avant. Si cette décision permet d’éviter des situations dramatiques, elles limitent aussi les profits des joueurs. Petit exemple : contre les Pays-Bas, la victoire du Brésil en quarts de finale était ainsi cotée à 1,75 sur Bwin.fr et à 1,85 sur le site international Bwin.com.
De plus, la différence entre les règles du jeu français et étranger pénalise l’essor de ce secteur qui pourrait rapporter gros à l’Etat. Sur ce même Pays-Bas - Brésil, on trouvait 39 paris différents sur Bwin.fr contre 326 sur Bwin.com. Une situation qui pénalise les recettes de l’Etat. Ce dernier a tout intérêt à ce que se développent les paris en ligne. Avec une taxe à 7,5 %, la Coupe du monde lui aura rapporté 450 000 euros.
Paul le poulpe, l’ami des sites de pari en ligne Paul le poulpe, le parieur ayant le plus la cote de cette coupe du monde, aurait pu se faire 6 000 euros s’il avait misé 20 euros à chaque match prédit. Voilà qui devrait faire une belle publicité aux sites légaux de paris sportifs. Si un poulpe peut le faire, pourquoi pas vous ?