Cortazar nous offre ici quatre nouvelles. Dans la première, Les poisons, il est question de la façon dont tuer les fourmis dans un jardin. Le narrateur enfant nous relate avec passion son double combat pour sauver le jardin de ses parents grâce à la fabuleuse machine à insecticide de son oncle et celui pour conquérir le cœur de sa jolie voisine.
Dans la nouvelle éponyme La porte condamnée, le lecteur est confronté à un texte fantastique dans lequel le narrateur, client d'un hôtel, est hanté par les vagissements d'un nourrisson la nuit, dans la chambre voisine de la sienne. Or celle-ci est vide...
La troisième nouvelle, Les ménades, rend compte d'une expérience très étrange vécue par le narrateur lors d'un concert de musique classique. Je n'en dirais pas plus !
Enfin, la dernière nouvelle de ce recueil, La nuit face au ciel, a pour personnage principal un homme victime d'un accident de moto, entre la vie et la mort à l'hôpital.
D'une lecture très rapide, ce recueil est une bonne mise en bouche à l'œuvre de Cortazar. Sa plume à la fois incisive et poétique permet de donner une dimension très particulière à ces nouvelles. Cortazar alterne comédie et drame avec brio, tandis que les nouvelles alternent entre réalité et fantastique.
Petit bémol de mon côté : les nouvelles ont attisé mon intérêt de façon inégale, comme souvent. Mais je garde un excellent souvenir de lecture.
A lire pour connaître cet auteur argentin. De mon côté, à lire en prélude à Marelle, qui remonte sur le dessus de ma
Cela faisait un petit moment que je n'avais rien lu pour le Challenge 2 euros de Cynthia. C'est chose faite ! J'ai fait d'une pierre deux coups, car ce titre me permet également de
faire descendre ma PAL (Pile à Lire), chose à laquelle je me suis
engagée avec Mon
Challenge "Les PAL c'est
tabou!! on en viendra tous à bout !!!! initié
par lasardine
!
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