-ça y est c'est la 2ème... une petite ballerine Anne Priol va s'avancer dans le noir scène et va embrasser la Mer avec son grand manteau de vagues et de tempêtes je vous donne juste le début la 1ère note
-et puis aussi tu devrais parler de Philippe...
-Philippe Person qui joue une sorte de Monsieur Loyal au masque blanc à la Tim Burton sous son chapeau claque,
à la fin il ne l'aura plus son chapeau claque
-et Emmanuel Barrouyer qui fait son numéro à la Michael Jackson,
-et puis la barricade
-pour rester dignes ne soyons pas soumis
du genre : "cette réforme c'est déjà fait..." mais non, rien n'est fait, sortez de vos coques...
-tu digresses
-oui et Emmanuel en amoureux de Cosette : "Je m'appelle,Marius..."
il fait comme au cinéma un
...vrai r....
-chut, ne dis rien faut pas trop en dire pour inviter à venir voir au théâtre, par soi-même...
-pour ce spectacle il faut "une empreinte" non ça vient d'autres chose, des ailes d'hirondelle quand elles crient au ciel bleu, malgré tout...
quelle véritable fraîcheur... que de découvrir ce Misérables là au Balcon, pour la 1ère fois...j'imagine à rebours
A propos de son directeur, au Théâtre du Balcon, j'ai trouvé un arlicle sur Artistic REZO, ils parlent de tout ce que j'aime sur Artistic rezo!
LE THEATRE DU BALCON A AVIGNON
ON N'ARRETE PAS LE THEATRE à l'Etoile du NORD
Les CHAISES au LUCERNAIRE j'y vais la semaine prochaine j'adore cette pièce
-l'art là il date d'un an
-eh alors ?
La Cie Philippe Person elle jouait Shakespeare l'année passée "Beaucoup de bruit pour rien" ils ont fait un succès
-c'était à plus grande échelle !
- les comédiens leur nombre c'est sur cela que tu te bases ? il en faut mille pour arriver au ciel
de barreaux ?!
Serge Barbuscia, directeur du Théâtre le Balcon à Avignon
Samedi, 25 Juillet 2009 08:38 chloé goudenhooft Théâtre - Portraits
Serge Barbuscia est metteur en scène. Il est le directeur du Théâtre du Balcon, grand théâtre du Off à Avignon.
C’est au lycée à Marseille que Serge Barbuscia a commencé le théâtre. A la suite de cette expérience, il décide d’en faire sa vie et se met à travailler au sein d’une compagnie. Même s’il a suivi pendant un an l’enseignement de Jacques Lecoq, il s’est surtout formé sur le tas : « j’ai fabriqué mon métier tout seul, au contact des autres » indique-t-il.
Le Théâtre du Balcon.
En 1983, il crée sa propre compagnie et fonde le théâtre du Balcon à Avignon pour pouvoir mener à bien ses projets. Il a monté une quarantaine de spectacles très différents, présentés en France et à l’étranger, en travaillant sur des poètes et écrivains tels que Victor Higo, Lorca, Maupassant, … ou encore sur des auteurs tels que Hélène Pedneault, Yves Garnier, Alain Monnier, Christian Petr… Son objectif est de découvrir et de revisiter des œuvres peu fréquentées, telles que celle de Neruda, et notamment, dans ce cas, sur des textes sur Picasso. « Les créations du Balcon sont toujours le fruit d’une rencontre entre un créateur et les interprètes », explique-t-il.
Le théâtre comme rencontre.
Cette idée de rencontre, elle est présente également dans le rapport qu’entretient le théâtre avec son public. En choisissant Avignon, il était sûr que le théâtre bénéficierait du festival, mais ce choix a été fait aussi parce Serge Barbuscia est originaire du Sud et il a vraiment eu envie que son théâtre vive toute l’année et qu’une relation se crée avec le public local. Il faut dire que le théâtre qu’il défend est celui d’un théâtre citoyen, « un théâtre qui se tienne au centre de l’agora, explicite-t-il. Le théâtre doit défendre des auteurs vivants et renseigner le public », ce qui rend nécessaire une certaine proximité avec les spectacteurs.
Même chose pour les compagnies invitées, Serge Barbuscia fait travailler chez lui des personnalités dont les recherches vont dans le même direction : « il y a en général l’envie de faire un bout de chemin ensemble ».
Quelles sont vos racines, réelles ou imaginaires ?
- Je citerai Michaux comme réponse : « Je suis né de trop de pères ».
Quel est le premier évènement artistiquement marquant de votre vie ?
- Carmen.
Existe-t-il un espace qui vous inspire ?
- La mer, les vagues.
Quelle place tient la fuite du temps dans votre vie ?
- L’idée qu’on va toujours trop vite vers nulle part.
Croyez-vous en l’existence d’un mot, d’une image, d’un son, d’un geste absolu ?
- Oui, l’univers a son geste, un certain rythme, qui peut être chargé d’une grande émotion.
Chloé Goudenhooft.
il faudra que je vous parle des rôles que j'aimerai jouer, de Zouc aussi...,
qui connait encore Zouc ?
j'ai voulu capturer une photo de TERZIEFF de lui vieux très belle tout le contraire de celle des Molières....
je n'ai pas pu droits réservés avec n° de tél. Tant pis, je mets toujours l'origine...Tant pis, les deux n'ont pas besoin de moi, ni eux ni personne. C'est bien comme cela que j'entends la vie...
-N'aies pas peur ! sous les yeux d'un public, "la peur devient timide" c'est Erri de Luca qui a écrit cela.
-tu radotes
-non c'est un lapsus...
"On n'arrête pas le théâtre" on le reprend car on ne peut pas imaginer sa vie sans.
J'ai pas eu le tepms de tout bien fignoler car j'ai volé du temps de travail du temps alimentaire pour cet article,
car je me dis que si vous passez par là... Merci