Riukan : poème "Les prémices d'un soleile"

Par Illusionperdu @IllusionPerdu

elle à sue d'un regard,
Fairre sucombé l'hiver,
Dans mes pupillents agard,
Fairre battre le fer....


elle à cellé mon émois,
Sur l'upercule de nos pensées,
Me désignant telle sont rois,
Devenant ma bien aimée....


puis ce rose terne,
Cette éclat mortifére,
c'est déverser dans mes yeux,
L'ange resta silencieu,


elle m'as pris la main,
à étouffé mon chagrin,
m'as enmener à tire d'aille,
vers de moin morne matin,
Ou les calins sont aux pluriels...