James Bond et autres héros en possédaient déjà, mais pour le commun des mortels, le rêve (ou plus exactement l’envie) devient réalité : la « flying car » ou le « roadable aircraft » ou encore la voiture volante pour les non-anglophones, est disponible à la vente.
La société Terrafugia link qui la fabrique et la commercialise au prix de 194 000 dollars, aurait déjà reçu plusieurs dizaines de commandes, la liste d’attente s’allongerait de jour en jour.
Évidemment pour disposer de l’engin, il faut un brevet de pilote et trouver des pistes de décollage et d’atterrissage, la législation dans la plupart des pays interdit d’utiliser routes et autoroutes à cet usage. Ce qui pose problème, si on ne peut se poser sur les Champs-Élysées et donner ses clés au voiturier du Fouquet’s pour casser une petite graine, alors à quoi bon un tel engin ? D'autant, qu'il ressemble trop à un avion et pas assez à une berline, ce qui rendra chafouin le dit voiturier...
N’empêche, l’avenir est à l’auto en suspension, d’autres constructeurs s’activent autour du sujet, on peut imaginer que la loi pourrait se modifier, surtout que ce type de véhicule s’avèrerait très utile pour la police et autres services d’intervention d’urgence. Plus encore à Paris dont le plan de circulation ubuesque du maire socialiste parvient à créer des embouteillages même la nuit ! (Gare à nous, il serait capable de pousser Decaux à inventer un vélo volant... qu'on écraserait comme des moustiques sur nos pare-brise !)
Mais ce qui se passe sur terre pourrait se reproduire dans les airs, après les bouchons terrestres, bonjour les capsules aériennes ? Rendez-vous dans 30 ou 40 ans…