Tout pour le bidasses!
L'ignominie US par rapport au social est répugnante. On ne veut pas d'assurace maladie à la française là-bas! Il est vrai qu nous sommes un modèle du genre et que le retard social des USA est le retard de conscience d'un monde pétri par le religieux totalitaire. Et pourtant... Confier à la charité publique le soin de s'occuper des pauvres et des malades indigents n'est qu'une démission, une lâcheté. Cepndant, si o'on a tué, si l'oin a été enrôlé dans l'armée des crilinels, là, on est protégé: les vétérans de guerre ont à leur disposition de nombreuses prestations.
Pas gentil.
Deux poids deux mesures? Rappelons qu'il n'y a aucun mérite à faire la guerre, sauf dans des cas come celui d'Ambrose Bierce. En générale on y est obligé d'une façon ou d'une autre. soit pas la loi, soit parcer quer la situation est intolérable.On est soldat US ou terroriste palestinien: l'un obéit, aux ordres.L'autre est, même criminel, une victime et s'est normalemet tourné vers une idéologie d'excès parce qu'il n'y a pas beaucoup de choix. Il est moins coupable que le premier. Qui, d'ailleurs, l'a créé par sa haine à laquelle une autre haine ne peut que répondre! Les pauvres, c'est pas gentil! Des fois même ça devient religieux féroce! Houlala! Comme c'est vilain! Le saviez-vous?
Vive Bismarck.
Mais revenons à la sécu.pour le folklore de merde de la franchouillardise, c'est une victoire genre gauche. Grave erreur! Sans en revenir à Bismarck, le fondateur de l'"assurance vieillesse et qui devrait avoir son portrait dans chaque centre de sécu, il faut penser aux esclavagistes: les esclaves ont la sécu! Un bon esclavagiste connaît son intérêt: s'il est féroce, il n'a pourtant pas envie de perdre du fric! Or, un esclave, ça coûte du pognon.
Le prix d'un esclave.
Le salopard d'esclavagiste, genre Washington ou Jefferson respecte l'esclave comme on respecte une vache, un animal de trait. Chez ces gens là, les animaux, ça compte. Et leur attitude méprisante envers l'esclave se joint à une connerie glauque de type religieux: on a voulu prouver, bien avant, que les noirs étaient des bêtes... Ce qui implique que, comme une bête malade, on soigne l'esclave malade. L'ouvrier, on s'en fout. L'esclave a un prix, c'est aussi une marchandise.Oui, c'est dégueulasse, et alors? Ca vous surprend?
Symétrie.
Donc un esclave malade était soigné. Et norri. Certes, pas toujours bien, mis au moins de façon à, nonsseulemetn rester en vie, mais aussi de pouvoir s'épuiser au boulot pour le plus grand bien de l'Amérique et de son propriétaire direct. Ces USA sont une démocratie réelle, du moins le furent quand ils partiquaient l'esclavage comme au bon vieux temps de l'ignoble démocratie grecque, quand une poutocratie pourrie se vouait à la chose publique sur fond de servitude;L'art en témoigne avec cette belel harmonie, cette symétrie, cette grandeur que même Arno Brecker n'est pas arrivé à égaler. Pourtant c'est superbe, ce qu'il a fait. Mais dès qu'il y a équilibre et symétrie dans l'art, ça témoigne qu'on massacre et qu'on opprime... Le souci de réalisme est du même acabit.
Prédateurs.
Les Nazis, au très bon système social, (comme d'ailleurs le Pétainisme qui réforma fort bien ce domaine en précisant le statut des assitantes sociales, etc.) n'avait pas d'esclaves: le travail des camps servait plutôt à tuer. en ce sens, le nazisme est encore le contraire de la démocratie (tout ceci est résumé): les Etats-Unis n'ont jamais chercher à éliminer les Noirs, au contraire: ils en avaient besoin pour s'enrivhir, profiter et salir le monde dont ils sont le prédateur et le parasite depuis déjà trop longrtemps. Tout en soignant l'esclave et en laissant l'ouvrier, et le pauvre, voire l'ouvrier devenu pauvre crever.
Le salut du riche.
L'esclave a un prix. Comme une vache, un cheval de trait. Cette ignominie fait qu'il est protégé. Marx l'évoque bien. Le travailleur, non. Il est interchangeable. S'il est usé, on le jette. Mais en Europe, la situation fut différente: Les religieux avaient bien compris qu'il fallait s'attacher les deux catégories ennemies les plus rentable pour l'esprit charitable. LEs pauvres, d'abord, qui servent, par l'aumône, à assurer le salut du riche, négoce spirituel épatant, gratifiant. Ce qui demande qu'on entretienne les pauvres dans leur statut de pauvre, afin qu'ils survivent et qu'on puisse encore les utiliser à des fins salutaires pour l'investissemnt post-mortem du paradis, équivalent mystiquye de la spéculation financière. .
Décharge.
Ensuite les travailleurs, nécessaires au grand dam des puissants. Eux aussi ont besoin de soins. Mais si l'on veut bien secourir le pauvre qui rend un service spirituel, le travailleur se récupère plus laborieusement. Certes, on a fait des caisses pour les aider, lui et sa famille, quand ils est dans le besoin.Mais ça fait des frais.Or il n'appartient pas à son maître, l'ouvrier! En plus il est citoyen et vote, ce con! On ne va pas payer pour le soigner alors qu'il n'est pas soulmis, comme le pauvre! On va donc se décharger sur l'Etat, si utile aux libéraux.Et l'Etat va gérer la sécurité sociale tout en prenant de l'argent aux travailleurs. Aux patrons aussi, qui râlent. Mais enfin, ces derniers sont déchargés de leur devoir, contrairement aux esclavagistes. Et puis ça aide à la paix sociale... Quoique les révoltes ouvrières soient moins féroces que celles des esclves. De plus on peut les vaincre sans tuer tout le monde.Les esclaves, n'ayant rien à perdre sont plus féroces.
La Liberté ou la mort!
Spartacus et Toussaint Louverture avaient un peu plus de tenue que nos syndicalistes! Et n'étaient pas interlocuteurs patentés du pouvoir! "La liberté ou la mort". Un mort est toujours libre. Un syndiqué ne meurt pas pour défendre sa retraite. Même opprimé, l'occidental est privilégié par rapport au reste du monde! Et les gens qui nt faim n'imagienent même pas ce qu'est une retraite.Le travailleur, bien plus que le bourgeois, est l'ennemi du pauvre. D'ailleurs, il contribue à le maintenir dans la misère en servat le riche et en étant son interlocuteur: Il reçoit les miettes que le patronat aurait accordées plus tard et conforte la société en la maintenant dans son état planplan de médiocrité sans faim. On ne peut pas faire autrement: le libéralisme a gagné et on ne 'en sort pas! Nous sommes condamnés à être des nantis au service de plus natins que nous. Et, pour un pauvre, c'est grave. S'il y a révolte, ils ne feront pas de quartier et trouveront le travailleur aussi dégueulasse que son patron! Pour celui qui a faim, le type qui veut augmenter sa retraite est un riche! Quant on vit avec moins d'1, 08 $ par jour, le plus petit salarié est un bourgeois! Qui a tort? Il est temps d'en prendre conscience!
On stagnera.
Aussi faut-il bien penser que la sécu, le social en général (y compris les retraites) sont aussi outil aliénant du pouvoir. Et que les tentatives de restrictions actuelles sont dans le droit fil de la pensée sociale qui n'est pas forcément de gauche. Tant qu'on n'en prendra pas consciece, les luttes seront moins efficaces et on stagnera.
Envoi: Avant Jean Laffitte, des flibustiers avaient déjà mis un système de sécu en vigueur dans l'île de la Tortue. La "République" des coureur des mers était démocratique et esclavagiste et , par exemple, celui qui perdait un oeil au combat, en pillant un riche navire et en massacent tous ceux qui s'y trouvaient, recevait de l'argent ou...un esclave. Etrange société égalitaire que celle de l'île de la Tortue (voir sur le net) avec, chose surprenante pour l'époque, une reconnaissance de l'homosexualité!