Magazine Politique
Il ne se sent plus ! Depuis qu'il a défendu les jusqu'au-boutistes de la SNCF, Olivier Besancenot se voit désormais comme le vrai leader de la gauche qui souffre. Il a désormais un boulevard pour lancer son parti "anti-capitaliste". Il mange toute la laine qu'il peut sur le dos d'un PS atone pendant cette longue grève et tout cela fait le bonheur de Nicolas Sarkozy qui se réjouit en silence de voir le PS ne cesser de décroître.