Les emplois aidés vont passer de 400 000 à 340 000 l’an prochain. On peut d’ores et déjà s’attendre à ce que l’opposition, relais médiatiques inclus, considère cette mesure d’économie comme un « coup porté à l’emploi ».
Oubliant que les mesures d’aide à l’emploi sont financées grâce à des recettes fiscales qui, non prélevées, auraient justement pu servir à embaucher…
Comme le disait Frédéric Bastiat : il y a ce qu’on voit, et ce qu’on ne voit pas.