Arrêter de fumer grâce à la sophrologie

Publié le 14 décembre 2007 par Laurence Roux-Fouillet

Dès janvier la pression s'accentue sur les fumeurs. Pour beaucoup, arrêter de fumer devient une nécessité. La sophrologie est un bon apport dans ce parcours. Car s'arrêter n'est pas qu'une question de volonté. Il faut que la motivation soit suffisamment forte pour que notre subconscient accepte de lâcher le comportement du fumeur, et que notre corps se passe de la substance nicotine. La volonté fonctionne avec "je dois", la motivation avec "j'ai envie". Les raisons sont forcément personnelles, en dehors de toute culpabilisation de l'entourage ou de la société.
Fumer permet souvent de calmer l'anxiété, de canaliser la nervosité. S'en passer quand on a un rythme déjà trépidant apparaît insurmontable. Que dire de le perspective de prendre du poids...

Une stratégie "stop cigarette" s'articule autour de séances individuelles orientées dans plusieurs directions :
- trouver et renforcer la bonne motivation à l'arrêt
- remplacer l'acte de fumer par "autre chose"
- lever les résistances
- installer un dégoût de la cigarette
- trouver des manières douces de se sentir bien
Question fréquente de fumeurs : combien de séances pour s'arrêter ? Réponse nuancée : tout dépend de vous. Et l'ancienneté de la cigarette n'a rien à voir là dedans. De "vieux" fumeurs s'arrêtent en 5 séances.
Pourquoi ne pas en faire un objectif positif pour 2008 ?