- Baisse de chiffre d’affaires, mais « taux de rentabilité en progression de 35,5% ». Stratégie de « vache à lait » ? (Serait-ce nous, les Français, la vache à lait ?)
- Services clients qui n’ont pas l’air brillants, mais où il y a de l’argent à gagner.
- Marché des entreprises sous exploité et potentiellement énorme. Surprise. C’est déjà ce qui me paraissait évident quand je faisais des études de marché sur le sujet, il y a plus de dix ans.
- Dans beaucoup de domaines, présentés comme désormais stratégiques, ce qui domine semble être le « trop tard » : mobile, fibre haut débit, marchés émergents (comment entrer sur des marchés certes en grosse croissance, mais coupe-gorge, où la productivité me semble poussée à l’extrême, quand on vient de l’étranger, et sans préparation à l’esprit combattif qui les caractérise ?).
- La seule chose un peu innovante dans la politique de l’équipe sortante, « les contenus audiovisuels », passerait à la trappe. Était-ce une erreur ?
- Reconstruction de l’entreprise, de sa culture, et de ses hommes. La direction ne peut avoir une stratégie ambitieuse si ses collaborateurs ne sont pas en état de la suivre, et de mettre en œuvre ses décisions avec intelligence et efficacité.
- Apprendre. FT semble distancé par son marché. Pour reconstruire des « compétences clés », l’achat d’entreprises est probablement moins efficace que l’expérimentation avec des clients dont les besoins sont en avance sur leur temps.
Compléments :
- L'état interne de FT semble inquiétant : Taylorisme chez FT.
- Sa performance économique ne semble guère meilleure...