japonaise
la dernière fois très âgé
c’était un jour de vent
avec la belle Yuko je
savais où poser le menton
à la faire pâmer elle
avait à l’oreille une rose
et n’était pas épilée un
double collier un bracelet
qui tintait ornaient sa
nudité je revois un vase
une large glace en elle
pleurait ma jeunesse de
ses fins doigts qui voulait
m’empêcher de mourir par
son sourire, elle si brune
(Jude Stéfan)
Illustration