Les scolopendres d'acier,
descendent d'inhumains passagers,
zombies générés par la crise,
sur lesquels Cronos à son emprise,
le peuple des fous à sa tenue de mise,
cravates et chemises.
Joug quotidien,
qui rime avec gagne pain,
et chaque jour recommence,
inexorable, malgré les circonstances,
le peuple des fous entre dans la danse,
infernale sarabande.
Rien ne te sers de fuir,
il te rattrapera sans coup férir,
le temps assasin et cruel,
qu'un jour emporte les mortels.
Le peuple des fous prient l'éternel,
dans le tumulte de son sommeil.
Mais il te faut aller bosser,
si tu désires subsiter,
aucune autre issue,
t'es foutu.....N'en parlons plus.
Le peuple des fous finira KO;
SILENCE RADIO.
PAEPEGAEY Michel