(photo:le choix des armes)
« souciant »…
Entièrement d’accord avec cette autruche progressiste : « pas d’interprétation hâtive » ! On ne sait jamais, il pourrait arriver –dans le feu de la réaction- que l’on sorte quelque bonne vérité et que l’on déroge au politiquement correct et à la langue de bois habituelle… le mieux est de s’enterrer rapidement. As usual.
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« Crise chez les Bleus - Pour Julien Dray, c'est “un règlement de comptes contre la France métissée”
(…) Cela n’a plus rien à voir avec le foot et avec les difficultés d’une équipe. Depuis trois jours, nous assistons à une offensive en règle, à un règlement de comptes contre la France métissée de l’équipe de 1998, contre les banlieues. On voit bien le scénario qu’on est en train de nous écrire : il y a un contenu idéologique qui n’est pas acceptable. Que Finkielkraut s’occupe de ce qu’il sait bien faire : la philosophie. Je ne suis pas sûr qu’il ait à s’investir dans un jugement qui est assez déplacé. On est en train encore une fois de faire le même procès : est-ce que l’équipe de France est trop métissée ? Est-ce qu’elle chante La Marseillaise ?… Ça suffit ! Ce climat est très mauvais On est en train de communautariser les choses. »
Clap, clap !
Du grand art, juju-la rollex !
Ce qu’il y a de bien avec ce genre d’ordure « anti-raciste », c’est qu’il n’y a pas de discussion possible : quiconque n’est pas de son avis est ipso facto raciste et/ou antisémite !
Cool !
(Je ne sais pas vous mais, en ce qui me concerne, voir le paquebot progressiste du vivre-ensemble festif "black-blanc-beur" sombrer dans la cuistrerie générale comme le Titanic moyen sur un glaçon ne me tire pas des larmes. hu, hu!)
Mais le mieux, devant autant de saloperie intellectuelle, est de relire gentiment Henry Miller :
« Pour celui qui pense avec la tête, la vie est comédie. Pour celui qui pense avec les sentiments, ou qui met ses sentiments dans son travail, c’est une tragédie. »
(H Miller, Ma vie et moi, 1971)
Ou Jünger :
« Le trait propre qui fait de moi un anarque, c'est que je vis dans un monde que, "en dernière analyse", je ne prends pas au sérieux. »
(Ernst JÜNGER, Eumeswill (1977))