Klaus Merz est né le 3 octobre 1945 dans le canton d’Argovie
(Suisse), où il vit et travaille aujourd’hui, souvent dans le compagnonnage des
peintres.
Poète, conteur, il est l’auteur d’une vingtaine de recueils de proses, poèmes
ou brefs récits. Son dernier livre paru en allemand est une nouvelle : Der Argentinier (Haymon, Innsbruck
2009). Dans sa préface à Déplacement,
Elsbeth Pulver écrit : « Si Klaus Merz est un poète laconique (ou
disons : un partisan de la brièveté), il se méfie du laconisme et doute
que le « mot juste » que prisent haut et fort les puristes rende
réellement justice aux choses. Ses textes ne circonscrivent rien, ne fixent
rien, ils dégagent plutôt la vue et proposent une échappée ».
Ont paru en français :
Frère Jacques, Zoé, Genève, 1998.
Kurze Durchsage / Déplacement,
préface d’Elsbeth Pulver, éditions Empreintes, Moudon, 2002
(l’un et l’autre traduit par Marion Graf)
Une fiche complète sur
le site culturactif.
Texte
proposé par Marion Graf à la soirée Traduction (juin 2010) de Poezibao