Disons qu'aujourd'hui j'ai limité mon aventure au coin de ma rue, car il s'agissait plutôt d'une fuite contre la chaleur accablante et j'ai un petit poignet fraîchement opéré à garder au frais! Je me suis assise en avant du comptoir de chocolat -chacun sa motivation!- et maso la fille, j'ai pris un smoothie à la mangue et au gingembre. Mais chaque mot saisi sur le clavier me rapprochait du petit chocolat que je délecterais à 17h pile, car oui (!) ma journée de travail se termine à cette heure précise. Maudit que je suis disciplinée...euh non, pas tant que ça!
Donc voilà, je me demandais, juste comme ça...
...Et si l'on considérait l’histoire simplement comme l'étude des faits qui ont marqué et qui continuent encore de marquer une collectivité. Et si ces faits relevaient autant de petits événements, de rencontres, d’expériences, qui se sont en quelques sortes cristallisés sous formes textuelle, visuelle, sonore. Et si nous oubliions un instant que l'histoire est une discipline. Et si nous cessions de croire qu'elle est inévitablement un récit. Et si nous cessions d'opérer une bien malencontreuse synecdoque en prenant la partie pour le tout, c'est-à-dire, des faits éparses pour un ensemble homogène...
"Caramel fleur de sel". Maudit que c'est bon!