Deux sous ministres démissionnent et la presse s'empare des choses comme d'habitude de travers. Ce n'est qu'un écran de fumée, un non évènement, quelque chose de vide, qui n'ammène ni ne change rien... Mais ils en font des tonnes.
Woerth est toujours là, le président aussi, mais non, la presse se concentre sur le nonos lâché aux chiens pour les occuper, allant d'analyses foireuses en analyses foireuses sur l'Elysée et compagnie... Rien de concret, du vide, de l'ineptie...
Cela me rappelle ce que disait Bourdieu :
La pauvreté des débats est toujours là, toujours aussi cruellement là. Le peu de presse indépendante qui reste va sûrement mourir pour laisser place à la presse de caniveau. "Le Monde" est aux mains d'Orange, super... "Libération" d'un baron... Ben voilà.
Mais l'écran de fumée fonctionne... Comme toujours.
La presse n'est même plus aux ordres, elle est vide de sens dans la plupart des cas. Affligeant.
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