Pink Floyd #2 :
Richard Wright : chant, claviers
Roger Waters : chant, basse
Nick Mason : batterie
David Gilmour : chant, guitare
Novembre 1969 : sortie du double "Ummagumma" (#5 UK-#74 USA).
ALBUM 1-LIVE
Produit par Pink Floyd
Astronomy domine (Barrett)
Careful with that axe, Eugene (Pink Floyd)
Set the controls for the heart of the sun (Waters)
A saucerful of secrets (Pink Floyd)
ALBUM 2-STUDIO
Produit par Norman Smith
Sysyphus 1-4 (Wright)
Grantchester Meadows (Waters)
Several species of small furry animals gathered
together in a cave and grooving with a pict (Waters)
The narrow way 1-3 (Gilmour)
The grand vizier’s garden party-1-entrance (Mason)
The grand vizier’s garden party-2-entertainment (Mason)
The grand vizier’s garden party-3-exit (Mason)
Une première pochette géniale signée Hipgnosis, qui va signer toutes les futures pochettes du groupe.
Un album important, plus par sa pochette et l'impact qu'il eu sur le public européen que par son contenu.
Le premier album live est d'ailleurs supérieur et plus intéressant que l'album studio.
Le 2e album est en fait constitué d'oeuvres solos.
Richard Wright se la joue symphonique avec son "Sysyphus" en 4 parties, malheureusement peu mémorable.
Waters se la joue acoustique et bucolique avec "Grantchester meadows", et c'est vrai que les ballades acoustiques de Waters possèdent toutes une certaine magie, puis c'est le Waters expérimental avec les bruitages de "Several species of small furry animals..." sans grand intérêt.
David Gilmour se montre plutôt démonstratif avec un "The narrow way" en trois parties : 1ère partie ballade acoustique, puis 2e partie exploration spatiale électrique pour finir avec la 3e partie carrément planante laissant apercevoir les futurs "Echoes" ou "Time".
C'est sur cet album que Gilmour expose l'étendue de son talent encore sous-utilisé à l'époque.
Nick Mason mise sur les percussions et les flûtes (jouées par sa femme Lindy) pour "The grand vizier's garden party" en 3 parties assez médiocre.
L’album reste d'ailleurs l'un des moins réussis du groupe, qui n'est d'ailleurs pas le dernier pour le dénigrer.
© Pascal Schlaefli