Si la commission européenne précise que cette technique de filtrage doit être régie par des normes applicables à l'échelle de l'UE, elle affirme que son utilisation reste soumise à la décision de chaque état.
Les scanners de sûreté sont utilisés de plus en plus fréquemment dans les aéroports de plusieurs États membres de l'UE. A Paris-Roissy, c'est en février 2010 que les premiers passagers testaient ce type de portique.
L'Union Européenne affirme dans son rapport publié mardi 15 juin 2010 que : "Les scanners de sûreté peuvent être considérés comme une méthode de filtrage fiable et efficace".
Ils doivent être régis "par des normes applicables à l'échelle de l'UE". Il doivent également respecter "le domaine de la santé et des droits fondamentaux", indique Siim Kallas, vice-président de la Commission chargé des transports. Le rapport souligne que "chaque État membre reste libre de décider" ou non de la mise en place de ces appareils.
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