Du bleu à l'âme, dégradé à l'horizon- par essence infini- du bleu pour carte postale, cartonnée en été, valeur sure des congés, rien que moins payés. Tu saisis la nuance? Mais non, elle t'échappe, parce-que en vacances, on n'est pas là pour se prendre la tête , on consomme du peu de temps qui passe et tout est à l'avenant, pré-mâché, digéré à l'instant même ou tu l'as gobé le saisonnier feu RTT, 35 l'heure...retournée la coquille qui fait des pellicules en souvenir.... Et pour combien de temps? C'est déjà trop du napperon au crochet immigré sur ta télé tout autant exotique! L'an série, la pensée paysage, à regarder toujours dans la même direction, mais pas trop longtemps non plus... Tu Chine? moi non plus! Le plouc dont je m'adhère (avec la sauce) s'est mondialisé dans le sourire qui fait vendre et les théories de la philo-xera Oups! contagieuse la mise en bouche estivale, le coucher de soleil calibré juste comme il faut avant la marche à ne surtout pas louper, parce que... pas de temps à perdre ou que ça à gagner, en profiteroles surgelées. Les vacances en troupeau, au suivant sous la douche et profit maximum- emballé c'est pesé- Du bleu en pagaille sur tous les plans et...quand bien même on se serait oublié dans l'horaire des marées, le missel des nouvelles paroisses démontables , il resterait toujours un peu de la grillade parfumée pour la plage, l'apéro voisinage, le... qu'est-ce qu'on est bien à rien foutre, non mais sans blague! A la rentrée, on comptera ce qui reste- moins ce qui ce sera envolé en douce dans notre dos écrémé indice 4-
que ça en serait presque indécent;