La fuite des cerveaux, mythe ou réalité ?
Publié le 01 juillet 2010 par Loreline123
Le Monde a interrogé Olivier Rixe, ex-professeur de cancérologie à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière, exilé aux Etats-Unis, dans l'Ohio, et qui symbolise, selon le quotidien, ces chercheurs que la France « n'arrive pas à garder ». Il fait ainsi part des attraits des infrastructures américaines, notamment la création d'un nouveau centre anticancéreux, et des moyens humains et financiers « considérables » qui sont mis à disposition. « Les ressources sont là, il suffit d'animer, de mettre tout le monde en marche », souligne-t-il. Il raconte qu'en France, il se partageait entre clinique, recherche et enseignement, et que le coté clinique à vite pris le dessus, avec des taches administratives lourdes et contraignantes, qui ont relégué à la portion congrue les moments de créativité et d'innovation.
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