Même si une "indélicatesse" est acceptable si elle ne se renouvelle pas (après tout nos politiques sont des hommes et des femmes...), nos gouvernants ne devraient pas oublier leur devoir d'exemplarité.
L'exemplarité en politique n'est pas une vertu, mais un devoir.
L'exemplarité en politique n'est ni de droite, ni de gauche, ni du centre.
En ces temps de crise, l'exemplarité de nos politiques devrait être une obligation car, quand on demande des efforts à nos concitoyens, on ne dilapide pas impunément et pour son bon vouloir les deniers qui sont confiés et l'on s'applique des principes de vie permettant d'être au-dessus de tout soupçon.
Quand on arrive aux plus hautes responsabilités, on doit s'appliquer une éthique, être exemplaire... ou démissionner !
En ce 4 juillet 2010, il était temps que certains s'en rendent compte... en espérant que ce ne soit qu'un début.