« Dans la chaleur accablante, j'entends ton souffle gémir. Le sommeil absent, j'imagine la sueur suintant sur ton front et tes cheveux mouiller l'oreiller. De ton parfum qui m'inonde, je respire la volupté. Incidemment, tu bouges. Alors, un air frais et léger emplit l'espace, qui jusqu'à l'aurore embaumera le rêve.
… Je me réveille. Tu es partie. »
Bodhi 1999